BOULEVARD ARAGON - EPISODE 38 (Partie4)
Amicalement et Fraternellement, Emilien Casali (Auteur)
casali.emilien@wanadoo.fr
Tous mes remerciements aux classes francophones qui ont participé au concours de dessins HIVER 2011
Les élèves de Madame Maria Miflor
Robert Opran, Alina Constantin, Amalia Militaru, Ana-maria cercelaru, Adeline Staicu, Daniela Ghita et Alexandra Mihai, Cristina Stoian, Miruna Firescu, Oana Dinca, Maria Manea, Ionut Pitiche, Larisa Dumitrascu, Geovanna Coada, Ana-maria Balaure,
Les élèves de la 5-ième classe de Madame Liliana Dervici (5-ième A)
Simona Miron, Oana Teodora Rusan, Larisza Andreea Vlad, Ilinca Forna, Daria Claudia Dardai, Antonia Mihalca, Andrei Cezar Ionescu, Anda paula Sabau, Adrian Crisan, Andreea Cicireaga, Ilinca Petra Master, Matei C. Codreanu, Diana Chitan, Alex tarau, Alexandru Casian Iacob, Iulia Iacob, Daniela Baran, Oana Muresan, Ionut Lupu, Tudor Pascalau, Daniel Demian, Razvan Popescu
Les élèves de Madame Rodica calota
Miruna Poienaru, Daniela Patrut
Les élèves de Madame Liliana Grosu
Emanuel Dumitrescu
Les élèves de Madame Giovana Dinca
Mariana Turbureanu, Mihaela Botezatu,
Les élèves de Madame Corina Fenichiu
Alina David, Camelia Ardelean
ACTE 1 / SCENE 1
Quelques temps plus tard…
Le nuage de fumée rose se dissipe…
L’action se déroule à présent à Tandarei au bord de « la rivière tranquille » à coté de laquelle se tient Mariana « T » Wonder Plume placée à coté d’un petit chevalet sur lequel repose une peinture qui sèche représentant Shira la guenon accrochée à la branche d’un arbre…
DORINA « S » WONDER PLUME, arrive sur un chemin qui conduit à la rivière, une bouteille d’eau à la main
Je t’ai apporté une bouteille d’eau, Mariana « T »… avec un zest de citron.
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet
Tu as bien fait, Dorina » S » Wonder Plume, merci. C’est qu’il fait chaud aujourd’hui ! Merci.
DORINA « S » WONDER PLUME, lui tend la bouteille
La fin du printemps est très ensoleillée à Roumanywood.
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet, se saisit de la bouteille
Tant mieux ! Ainsi ma toile séchera plus vite. Comment trouves-tu ma dernière peinture ?
DORINA « S » WONDER PLUME
Le portrait de la guenon est vraiment très réussi. De qui s’agit-il ?
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet
Il s’agit de Shira l’une des héroïnes de la pièce « Les Sentiers de la liberté » dont l’action se déroule sur le mont Kilimandjaro. J’attends que Roberto soit là pour lui offrir mon tableau.
DORINA « S » WONDER PLUME
Tu es certaine qu’il viendra ?
SHIRA LA GUENON, dans le tableau
Il n’ y a aucune raison qu’il ne vienne pas.
DORINA « S » WONDER PLUME
Mais comment peux-tu en être si certaine ? Tu es voyante ?
SHIRA LA GUENON, dans le tableau
C’est mon petit doigt qui me l’a dit.
DORINA « S » WONDER PLUME
Tu m’as déjà dit la même chose l’an passé. (Elle tourne le dos) Je ne te crois plus, Mariana.
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet
Je n’ai rien dit.
SHIRA LA GUENON, dans le tableau
C’est moi qui ai ouvert la bouche.
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet
Regarde, Dorina, regarde ! Shira vient de parler.
DORINA « S » WONDER PLUME, lui tourne le dos
C’est cela même, prends-moi pour une gourde.
SHIRA LA GUENON, bouge les mains
Hello, les filles ! Comment allez-vous ?
MARIANA « T » WONDER PLUME, placée près du chevalet
Regarde, Dorina, elle bouge des mains à présent !
DORINA « S » WONDER PLUME, le dos tourné
Tu dis n’importe quoi !
SHIRA LA GUENON, grimpe sur le dos de Dorina et lui bouche les yeux avec les mains
Coucou, coucou, Dorina ! Devine qui est là ?
DORINA « S » WONDER PLUME, avec Shira sur son dos qui lui bouche les yeux avec les mains
Ton petit jeu a assez duré, Mariana. Je te préviens… je vais m’en aller. Cela suffit ! Descends de là, s’il te plait ! (Elle fait tomber Shira)
SHIRA LA GUENON, se retrouve les fesses sur le sol
Et moi qui pensais que tu étais une chic fille, Dorina.
DORINA « S » WONDER PLUME, plonge dans l’eau
A l’aide ! La guenon m’attaque !
SHIRA LA GUENON
Vraiment, quel accueil ! Quel accueil !
C’est alors que la Salamandre (magnifique goélette) apparaît avec à son bord, Roberto (Anabella dans ses bras), Butterfly Girl, Martisoara (Susie Taquine dans ses bras), Butterfly Rose, Sylvestre, Emi Wonder Plume (avec la colombe sur l’épaule), le Comte de la Bouche-En-Biais et la licorne…
FIN DE LA SCENE 1
ACTE 1 / SCENE 2
La Salamandre est escortée par un nuage de papillons de toutes les couleurs…
ROBERTO, tend la main à Dorina « S » Wonder Plume
Donne-moi ta main et dépêche-toi de grimper à bord, Dorina.
Roberto aide Dorina à grimper à bord…
La Salamandre accoste ensuite sur la berge…
Tout le monde pause les pieds à terre... les papillons tournoient autour d’eux…
On aperçoit dans le ciel bleu la « Renaissance 2 » (Magnifique zeppelin en forme de château)
MARIANA « T » WONDER PLUME, accueille tout le monde sur la berge
Je savais bien que tu allais venir, Roberto. (Elle plonge dans les bras de Emi Wonder Plume qui porte le chapeau sur la tête)
EMI WONDER PLUME, la repousse
Désolé, ma belle, mais ce n’est pas moi « Roberto ». (Il désigne Roberto du doigt) C’est lui ! (Puis il remet le chapeau noir à Roberto) D’ailleurs, j’en profite pour lui rendre son chapeau. Nous sommes entrés dans la dernière ligne droite. C’est à toi de jouer, mon coco !
ROBERTO, dépose son chapeau noir sur la tête
Comment trouves-tu mon chapeau, Susie ?
SUSIE TAQUINE, dans les bras de Roberto
Il te va à merveille, mon coco ! Tu permets que je l’essaye à mon tour ?
ROBERTO
Plus tard, ma chérie, plus tard…
SUSIE TAQUINE
Tu n’es pas gentille du tout. (Elle plonge dans les bras de Butterfly Girl) Je te quitte définitivement. Je ne veux plus jamais entendre parler de toi.
ROBERTO
Tu ne vas pas me refaire ta crise.
SUSIE TAQUINE, lui tourne le dos
Je ne te parlerai plus jamais. Va-t-en !
ROBERTO
Mais enfin, Susie… c’est idiot !
BUTTERFLY GIRL, avec Susie Taquine dans ses bras
Il n’est pas nécessaire d’insister, Roberto. Passez votre chemin, je vous prie.
SUSIE TAQUINE, tourne le dos à Roberto
Notre contrat est rompu. Je ne reviendrai pas en arrière.
ANABELLA, plonge dans les bars de Roberto
J’aimerais bien faire un numéro de claquettes avec toi, Roberto. Tu veux bien me prendre sur scènes avec toi ?
ROBERTO, avec Anabella pendue à son cou
Ce n’est pas le moment, Anabella, « j’ai d’autres chats à fouetter ». On en reparlera une autre fois si tu veux bien.
SUSIE TAQUINE
Je comprends mieux maintenant pourquoi Monsieur Roberto ne veux plus de moi sur scène, il s’est trouvé une autre partenaire.
ROBERTO, avec Anabella pendue à son cou
Ne raconte pas de bêtises, Susie, tu sais bien que tu es la meilleure sur scène… tu es inégalable… tu es…
SUSIE TAQUINE
Tu veux plutôt dire que je suis la meilleure après le vinaigre.
ROBERTO, avec Anabella pendue à son cou
Je t’assure que personne d’autre que toi ne me tient aussi bien la réplique sur les planches.
SUSIE TAQUINE
Il n’empêche que tu n’as d’yeux que pour Anabella depuis le début de cette aventure. Cette chatte te rend dingo, mon coco !
ROBERTO
Anabella est juste une petite copine qui veut mon plus grand bien.
SUSIE TAQUINE
J’ai remarqué ça. Elle constamment pendue à ton cou. Si jamais Miss Maryl te surprend…
ROBERTO, avec Anabella dans ses bras
Tu entends quoi par là ?
SUSIE TAQUINE
Je me suis comprise.
ROBERTO, avec Anabella dans ses bras
Mais enfin… tu exagères !
BUTTERFLY GIRL (placée dans le dos de Roberto), fait plusieurs tours sur elle-même et prend l’apparence de Miss Maryl
Je peux savoir ce que vous faites avec cette créature dans vos bras, mon coco?
FIN DE LA SCENE 2
ACTE 1 / SCENE 3
ANABELLA, dans les bras de Roberto
Qui est cette poupée, Roberto ? Je crois bien qu’elle t’adresse la parole !?
ROBERTO, sursaute
Que faites-vous là, Miss Maryl ? Vous devriez être en Jamaïque à l’heure qu’il est.
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl)
Sans vous, je m’ennuyais un peu dans l’île. J’ai donc décidé de vous rejoindre à Roumanywood. Vous n’êtes pas ravi de me revoir ?
ROBERTO
Pour une surprise, c’est une surprise !
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Qu’attendez-vous pour me faire le baisemain, mon ami ? A moins que je vous dérange en si charmante compagnie… ?!
ROBERTO, avec Anabella dans ses bras, lui fait le baisemain
Anabella est juste une petite copine qui me tient compagnie depuis l’entrée du carrosse d’or dans le parc Romanescu de Craiova… à propos, comment saviez-vous que j’étais à Tandarei ?
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Je ne suis jamais très loin de vous, mon ami. Je vous suis à la trace.
ROBERTO, avec Anabella dans ses bras
Comment ça, vous me suivez à la trace ?
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Bonjour Anabella ! Tu t’amuses bien avec Roberto et les Compagnons Balladins ?
ANABELLA, lui tend une patte
Figurez-toi, Miss maryl, que je suis devenue la nouvelle mascotte de Roumanywood. Désormais, c’est moi qui donnerais la réplique à Roberto dans « Cadeau Surprise New Look ». Enchantée de faire votre connaissance, Miss Maryl.
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl, sert la patte de Anabella
Bonjour Anabella !
BUTTERFLY ROSE
Où est passée Butterfly Girl ? Je la cherche en vain.
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Notre cher papillon violet a délaissé son laissé son costume aux vestiaires pour prendre des vacances bien méritées. Ce qui n’est point votre cas, Butterfly Rose !
BUTTERFLY ROSE
Je vous demande pardon, Miss Maryl ?
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
N’était-il pas question que ton voyage s’arrête à Tandarei, Dorina « C » Little Plume ?
Miss Maryl lance de la poudre magique sur Butterfly Rose qui prend aussitôt l’apparence de Dorina « Little Plume ».
FIN DE LA SCENE 3
ACTE 1 / SCENE 4
BITTERFLY ROSE, sous les traits de Dorina « C » Little Plume
Que s’est-il passé ? Où sont passées mes ailes roses ?
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Le temps est venu de retrouver ton chez toi, Dorina. Merci pour ton aide si précieuse. Tu as parfaitement rempli ton devoir jusqu’à maintenant. Tu as remarquablement joué le rôle de Butterfly Rose depuis le mois d’octobre dernier.
BITTERFLY ROSE, sous les traits de Dorina « C » Little Plume
Evrika ! Je me souviens que tu m’avais confiée ce rôle à l’époque. Mon dieu que le temps passe vite !
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Tu as fais un parcours sans faute pendant 8 mois. Tu as utilisé ta baguette magique au moment où il le fallait sans jamais trop en abuser. Tu as su trouver les mots pour réconforter nos petits amis et tu t’es porté à leur secours dans les moments où il le fallait. Reçois la « Mention très bien ».
MARTISOARA, lui tend un micro
As-tu quelque chose à dire à nos amis, ma fille ? Nous t’écoutons.
BITTERFLY ROSE, sous les traits de Dorina « C » Little Plume
Ce rôle me plaisait bien. Quel dommage de s’arrêter en si bon chemin !
Soudain, le grand chevalet sur lequel repose la toile bleue apparaît comme par l’effet d’une baguette magique
EMA ET VERONICA DOUBLE BELLEPLUME, sortent de la toile, vêtues d’une cape blanche et portant un masque blanc
Toutes les bonnes choses ont une fin !
EMA DOUBLE BELLEPLUME, salue la compagnie
Bonjour tout le monde !
VERONICA DOUBLE BELLEPLUME
Ema et moi sommes très contentes de vous retrouver à la fin de cette aventure.
LA COLOMBE, avec son panier sous le bras
Ce n’est pas tout à fait la fin, Mesdemoiselles Double Belleplume. En effet, il nous reste à découvrir le clou du spectacle.
ROBERTO
N’as-tu rien à remettre à la jolie colombe, Dorina « C » Little Plume ?
Ema et Veronica vole en compagnie de la colombe au dessus de Dorina « C » Little Plume…
BITTERFLY ROSE, sous les traits de Dorina « C » Little Plume
Pourquoi moi ?
BUTTERFLY GIRL, sous les traits de Miss Maryl
Tu as été choisie pour te lancer la première.
LA COLOMBE, tend son panier à Dorina « C » Little Plume
Longue vie à la poésie !
Soudain, la nuit tombe… des étoiles apparaissent dans le ciel…
DORINA « C » LITTLE PLUME, récite son poème à haute voix
« Beaucoup de gens ont choisi de définir la vie.
Certains ont dit que c’est une fumée passagère,
Pendant que d’autres, miracle de Dieu.
Se sont précipités de l’habiller en mots,
Aucun n’a réussi à changer son cours
Et peu de gens ont choisi de la vivre. »
« Et si la vie était comme une cigarette ?
Un style de sentir son goût
Ou de la laisser s’éteindre.
Une flamme éternellement brûlante
Ou une cendre étouffée d’impuissance ?
Une chance unique à une cigarette unique ! »
« Les pessimistes la fument lentement
Avec la peur d’un commencement de fin,
D’une chute dans le vide, d’une dernière lueur.
Les optimistes tirent assoiffés
Et courent follement après le bonheur
Une course pour gagner l’ascension. »
« Certains, tristes, suffoquent tous leurs pouvoirs
Pour finir plus vite l’amère cigarette
Et pour disparaître en elle, avec elle...
D’autres, heureux, la contemplent
Et envahissent peu à peu tous leurs sens
Dans une béatitude éternelle. »
« Les riches la fument avec indolence,
Avec les coeurs sculptés en pierre
Et de l’or apparu dans leurs mains.
Les pauvres prennent soin que chaque fumée
Soit pilier d’appui pour les autres,
Une chance au sourire. »
« Et chaque homme,
Pessimiste ou optimiste,
Triste ou heureux,
Riche ou pauvre,
Vit des moments couverts de fumée.
Une agonie ou une extase. »
« Nous fumons une rivière qui coule perpétuellement,
La lumière troublante d’un « Bienvenue ! »,
Le souci affectueux du coeur par où
Se sont levés timides comme les rameaux
Nos petits corps, délicats.
Nous fumons la protection. »
« Nos doigts tremblent sur la cigarette,
Quand une porte se ferme devant nous.
Nous voulons que tout s’éteigne, mais avec foi,
Que chaque chute soit une ascension.
Et avec un nouvel espoir dans nos âmes,
Nous fumons le succès après l’échec. »
« L’épaule où je laisse tomber des larmes,
La peau où j’écris des pages de journal,
Les sourires que je ne cesse pas de provoquer,
Les paroles chuchotées en secret,
Des moments qui durent une éternité.
Je veux fumer l’amitié à... l’infini. »
« De longues ailes grandioses nous poussent
Quand notre âme est libérée de toute peur
Nous volons librement vers des hauteurs sans fin
Car nous savons que l’Univers entier
Conspire à la réalisation de notre rêve.
Ça, c’est le goût de l’indépendance. »
« Quand les doigts incertains
Parcourent le chemin de fumée et ont peur,
Tant de peur pour le bonheur homérique,
Quand sans ta moitié tu es rien
Et qu’un miracle est chaque moment,
Fume l’ineffable, fume l’amour ! »
« Et dans cette fumée qui nous entoure,
Nous voyons comme ceux qui sont près de nous s’en vont,
Nous fumons le désir de voir des ombres errantes,
Les embrassements nous manquent tellement,
Que les mots disparaissent sur nos lèvres brûlantes.
Le désir doit-il être fumé ? »
« Sang et armes, explosion et fumée,
Des soldats tués et une mer de cendre,
Des femmes chagrinées de douleur et désir,
Des enfants pour lesquels papa est très loin,
Une paix perdue dans la poussière de la guerre,
A quoi bon la fumée de la guerre ? »
« Rouge pour l’amour, jaune pour la vie et bleu pour le ciel,
Des couleurs pastellées et des toiles miroirs de l’âme...
Violon trop triste, flûte désolante et piano du désir,
Des sons étonnants - des miroirs de l’âme,
Un livre du tout, des lignes significatives des miroirs de l’âme,
Couleur, musique, littérature, je veux te fumer âme d’artiste ! »
« Un sourire affectueux sur l’iris de tes grands-parents,
Rire de joie d’une petite bouche d’enfant,
Un vieil ami revu,
Un cadeau quelconque de quelqu’un,
Des merveilles reflétées par nos propres âmes,
Fume les petites choses, grandioses... »
« Quand des voix fermées en toi crient,
Et des fleuves empoisonnés de joie coulent dans tes veines,
Quand tout autour de toi est un sourire
Et tes doigts dansent langoureusement sur la cigarette,
Et tes lèvres crient pour sentir son goût,
Alors tu dois savoir que tu as fumé la béatitude. »
« Et les mains frémissent dans un vertige étourdi,
Sur la cigarette tremblante et finie.
Et le coeur court lentement.
Et les yeux fixent l’infini.
La cigarette tombe en néant,
En abîme et s’endort. »
« Alors, dans le sommeil le plus profond,
On ressent pleinement, mille fois,
La protection, le succès, l’amitié, l’amour,
Le désir, la guerre, l’indépendance, l’échec...
Maintenant tu es de même que l’infini
Et dans l’absolu tu as fusionné avec Dieu.
C’est le commencement de ta vie. Bienvenue ! »
Poème N°358 « Passage... » de Dorina Constantin,- – Professeur : Giovana Dinca (22 avril 2010)
Tout le monde grimpe à bord de la Salamandre sauf la licorne qui tire le carrosse d’or…
LA COLOMBE, son panier sous le bras
Tu ne viens pas récolter les poèmes avec nous, ma jolie licorne ?
LA LICORNE
Hélas, je ne le puis, jolie colombe. Mes jambes sont trop lourdes. Et puis, je crois que le temps est venu pour moi de retrouver ma liberté. Ne t’inquiète surtout pas, on se retrouvera dans une prochaine vie ! « Que les papillons éclairent ton chemin sur le Boulevard Aragon ! »
La licorne quitte les lieux entraînant le carrosse d’or avec elle
Le carrosse d’or disparaît ensuite comme par l’effet d’une baguette magique…
La licorne s’enfuit au galop…
Ema et Venonica Double Belleplume entrent dans la toile bleue qui repose sur le chevalet qui disparaît aussitôt du lieu…
Le décor de la rivière s’est transformé entre temps cédant sa place à celui de la Seine de Paris avec vue sur la tour Eiffel…
Poussée par le vent, la Salamandre (magnifique goélette) flotte sur la Seine le long du Boulevard Aragon (rive gauche) toutes voiles gonflées passant sous les ponts de Paris…
Des enfants papillons, de toutes les couleurs, sont accrochés aux voiles…
FIN DE LA SCENE 4
FIN DE L’ACTE 1
EPILOGUE
LA COLOMBE, ROBERTO (son chapeau noir sur la tête), MISS MARYL (Sous les trait de Butterfly Girl le papillon violet), MARTISOARA (La princesse de Roumanywood)
Les trois personnages se tiennent sur le pont de la Salamandre (magnifique goélette) qui flotte sur la Seine à Paris…
Poussée par le vent, la Salamandre (magnifique goélette) flotte sur la Seine le long du Boulevard Aragon (rive gauche) toutes voiles gonflées…
Des enfants papillons, de toutes les couleurs, sont accrochés aux voiles…
La colombe tourne autour des voiles, son panier sous le bras…
Jean de Ferrat le troubadour est assis au pied de la tour Eiffel, sa guitare à la main…
MARTISOARA
Sur les notes de l'Amour s'écouleront nos plus beaux jours.
Saveurs de Menthe et de thym accompagneront nos doux matins.
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Nous sommes libre de penser, de rire, de vivre comme nous voulons
Nous pouvons profiter des secondes, des minutes et des heures
De notre vie.
La vie n'est pas toujours très facile,
Mais il est plus facile d'aimer, de redresser la tête.
La vie est une chanson d'amour
Elle est triste ou joyeuse
Merveilleuse. »
Poème N°415 « La vie » de Yasmina Deeb, XII-ieme C- Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
ROBERTO
Prenons le temps d’aimer, prenons le temps de vivre !
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Le bateau se promène sur la mer profonde
Regardez ! Qui est-il et d'où vient-il, quand ?
Est-ce un vague souvenir ou un rêve ludique ?
Nous cherchons toutes les réponses, un peu fantastique.
Mais le bateau s'enfonce dans le dédale de la vie.
Il est difficile de naviguer, mais nous avons réussi,
Quand nous sommes tous jeunes et entourés de joie…
Plus tard, la joie se tourne vers la nostalgie, je crois.
Rien ne nous empêche de marcher sur la terre fameuse,
Nous montons les plus hauts sommets, audacieux.
C'est impossible, nous ne sommes pas victorieux.
Le travail est en vain, tout glissant, même les vertueux.
Mais près de la rivière avec les reflets de perles de mon cœur,
Sur une île solitaire, l’arbre de la vie semble sage,
Il secoue sa branche pleine d'argent comme un mirage.
Une pluie d'étoiles mystérieuse vous entoure.
Et la nature joyeuse danse sur la musique d’un troubadour,
En décorant un arc brillant, parfumé, qui répand l'amour. »
Poème N°412 « Tout dans ce monde brille » - Roxana Ilea, IX-ieme - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
MISS MARYL (Butterfly Girl)
Amitié oblige, je te serai fidèle !
MARTISOARA
Face aux ennuis, nous resterons Zen !
ROBERTO
Positives vibrations sur les jours lointains !
MISS MARYL (Butterfly Girl)
Pour que la Paix règne autour de soi,
D'harmonieux échanges de mains
Viendront saluer le bonheur devenu roi.
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est comme le vent
Parfois, il souffle, parfois non.
La vie est comme le soleil
Parfois il brille de mille feux
Parfois il ne brille pas du tout.
La vie est faite de joies et de peines
La vie est comme une petite fille
Parfois, son visage est coloré avec des sourires
Parfois, il est plein de larmes.
La vie est un mystère.
La vie c’est la vie. » Poème N°411 « La vie – un mystère » Ana Avram, IX-ieme - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
ROBERTO
Dès que la nuit tombera, nous veillerons sous les étoiles…
MARTISOARA
Qui réchaufferont notre cœur et notre douce âme.
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Jeu de couleurs pâles se prolongeant le long de l'azur du ciel,
Réminiscence d'un nouveau départ, un nouveau jour, jamais vieille
Comme le soleil chaud se couche tous les soirs
Je sais que demain sera un nouveau jour, plein d'espoirs.
Comme le soleil se lève et le ciel s'éclaircit
Au dessus la mer, tournoiement,
Le mouette vole lentement
Dans le bleu infini.
Libre, elle ne peut pas être arrêtée
Elle vole lentement,
Flottant,
Vers le soleil éblouissant levé.
Poème N°409 « La vie ? » de Udrescu Adina, IX-ieme A- Professeur coordinateur : Liliana
Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
MISS MARYL (Butterfly Girl)
Et la chaleur des étoiles scintillera toujours
Sur les décibels de nos plus belles années.
TOUT LE MONDE (Les trois personnages en chœur)
Des prières et des chansons pour les amoureux de la vie,
Les survivants de l'infini, et quelques soient les saisons !
ROBERTO
Aie donc la foi pour compagne !
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Qu’est-ce que la vie ?
Est-elle un moment de bonheur ?
Ou est-ce un moment mémorable?
De toute façon, la vie vient, mais la vie part aussi.
Qu’est-ce qu'il faut faire ?
Nous devons profiter des beaux moments de la vie quotidienne
Nous devons être attentifs
Aux petites choses qu'illumine notre visage avec un sourire
Parce que ces choses précisément
Sont ceux qui te rassérènent
Dans l'obscurité de la réalité. »
Poème N°408 « Qu’est-ce que la vie ? » de Maria Ujvarosi, IX -ieme - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
“ Il faut être poli avec la vie
Et avec les gens
Il faut les remercier
Chaque matin et chaque nuit
Pour toute la tristesse et toute la joie
Pour toute la beauté dans le monde
Pour toutes les choses que la vie t’offre
Parce que la vie est une chance...
Pour toi, de découvrir le monde. »
Poème N°406 « La vie » de Fertea Andreea Ioana, X-ieme A- Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
MARTISOARA
Résiste au vent mauvais !
ROBERTO
Fais de la joie ta seule raison.
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
MISS MARYL (Butterfly Girl)
Sur cette terre nettoie tes plaies.
MARTISOARA
Laisse donc tes chagrins de coté.
ROBERTO
Déchire tes guenilles d'opprimé et
Viens donc rejoindre sur la terre
Les âmes libres pour qui le soleil brille.
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Le soleil et la lune
M’accompagnent tous les jours
Ils sont mes guides dans ma vie
La joie ou la tristesse
Je les sens avec mon cœur
Mais la chanson de cette vie
Est tout ce que j’aime
Quand les chanteurs sont les étoiles. »
Poème N°403 « La vie » de Dragos Gal, X-ieme A - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Je regarde à l’infini là-haut dans du ciel
La lumière du disque resplendissant m’aveugle…
Des hommes de sable…
Je resterai ainsi, avec ma tête soumise,
Affamé et assoiffé vraiment.
Les 12 heures du midi…
Visages et visages animés traversent la rue.
De chaleureuses sueurs coulent sur mon visage,
Je les regarde avec mes grands yeux, si étonnés, curieux…
Où courent-ils, si pressés
Visage sombre, visage fâché, penche-toi en bas,
Je veux essuyer le chagrin de ton visage
Regarde, je t’offre « Mon sourire ».
Ennuyé, il regarde en bas.
Avec mépris il me jette un sous
Les autres me jettent un pain
Mais pas un sourire.
Il court… il n’a pas de temps…
Toute la journée, il l’a passé en courant.
Je suis heureux : parce que j’ai le ciel près de moi, parce que je sais
Que la méchanceté ne durera pas une éternité.
Et je ne suis pas seul…
Mille visages passent près de Moi chaque jour.
Et leurs tristesses sont « Mes tristesses » et leurs bonheurs sont « Mes bonheurs. »
Et leurs espérances sont « Mes espérances. »
Et j’ai la force de les rendre heureux.
Mais ils n’ont pas de temps, n’ont pas autant de temps que Moi
Ils sont trop occupés avec les choses futiles du monde.
Et ils n’ont pas de temps pour penser à l’éternité.
« Mon sourire a le pouvoir de les désarmer
Jamais de ma vie je ne m’en séparerai. »
Poème N°402 « Attente » de Anca Martinovici, XI-ieme A- Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Avoir le courage de dire : « Oui »
Avoir le courage de dire : « Non »
Et dans chaque moment difficile
Etre toujours le même : « TU »
Etre une lumière
Et pas une ombre qui passe
Un phare dans le monde
Et un espoir brûlant.
Une fleur de lys qui propage
L'amour et l'innocence.
Une étoile dans le ciel couvert de nuages
Et un chemin vers l'éternité.
Poème N°397 « La vie » de Claudia Pop, XII-ieme C- Professeur coordinateur : Liliana Derevici (30.04.10)
MARTISOARA
Dans notre galaxie terrienne,
L’argent n'est pas le seul emblème
Capable de tout résoudre.
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est une petite rivière
Qui au début coule sans soucis,
Mais petit à petit,
Des ennuis
Troublent cette coulée
Et attriste souvent nos années…
Mais on doit comprendre
Que les ennuis
Tout comme les joies,
Font parties de l’existence,
Qu’on doit les accepter,
Qu’on doit les surmonter
Sagement, Dignement,
En souriant.
Que telle qu’elle est,
La vie est un miracle,
Un don béni, Un coin de paradis. »
Poème N°396 « Un miracle » de Poliana Ciuca IX e G, Collège National Lycéal ‘Al. Odobescu', Pitesti Prof. Mariana David (28.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Tu n’es maintenant qu’un enfant
Un enfant innocent, souriant,
Pour toi la vie est si belle,
Comme un vol d’hirondelles.
Mais petit à petit tu apprendras
Que la vie est un perpétuel combat
Avec des réalités parfois dures
Car tout n’est pas rose, n’est pas pur.
Ne désespère jamais,
L’important dans la vie
Est d’espérer, De s’épauler,
De pouvoir compter sur des amis,
De cultiver l’amour,
De croire dans la magie régénératrice du vert
Même si le ciel est bien couvert ;
Garde ce juste équilibre
Et tu pourras écrire dans ta vie de belles pages,
Même si autour la tempête fait des ravages. »
Poème N°395 « L’important dans la vie » de Irina Rosianu Xe A, Collège National Lycéal ‘Al. Odobescu', Pitesti Prof. Mariana David > (28.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Qu’est–ce que la vie ?
La vie est un roman
Sur les pages duquel
On imprime des sentiments
D’amour, de tristesse, de joie,
Qui font partie de moi et de toi.
Oui, il y a aussi des souffrances,
Mais dans les moments d’adversité
Garde toujours l’espérance !
La vie,
Ce beau cadeau du ciel,
Est vraiment épanouie
Quand Dieu nous bénit
Et quand on a une âme soeur,
Voilà l’essence du bonheur »
Poème N°392 « La vie » de Georgiana Rizoiu Xe G, Collège National Lycéal ‘Al. Odobescu', Pitesti Prof. Mariana David > (28.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
ROBERTO
Il contribuera, certes, à ton bonheur,
Mais il n'est pas ta seule arme.
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Je crois encore aux contes,
Je cherche encore l'amitié dans un monde vide,
Je vois encore des étoiles fillantes
Apparaitre au milieu d'un ciel limpide.
J'espère encore voir le Paradis
Des roses épanouies au milieu du désert,
Un chant d'oiseaux dans un coeur solitaire
Et un nouveau chemin qui s'ouvre et me conduit.
J'attends le printemps
Et mon coeur pleure en voyant l'hiver
Celui qui chasse le beau temps,
De toutes les âmes solitaires.
Mais la solitude disparait
Si j'ai confiance et je sais,
Que jamais je ne serai abandonnée
Quelles que soient la saison et l'année.
Car mon coeur est maintenant luisant
Le cadeau d'amour
Qui nous a été offert sans retour
Par Jésus qui est vivant.
Avec une telle espérance,
Je peux sans crainte avancer.
Avec un peu de confiance,
Mon chemin, je peux le continuer.
Je sais aussi qu'un jour je verrai
Tous ceux que j'ai longtemps aimés;
Je saurai de même que je les avais conduits
Sur le chemin du Paradis. »
Poème N°390 « Le chemin des souvenirs » de Anna Théodora David VIIe B, Grup Scolar Forestier Rucar Prof. Geanina Idor (28.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Je me regarde dans le miroir
Et je vois sur mon front
Une ride bien tracée,
Le fil tremblant de mes années.
Parfois, des larmes de tristesse inondent mes yeux,
Je ne vois plus l’horizon,
Je ne crois plus au ciel bleu.
Mais après quelque temps
Je m’échappe de ce noir,
La lumière revient
Et je regagne l’espoir.
Et quand je suis heureuse,
Quand la chance me sourit,
Mon miroir me dévoile
Un coin de paradis. »
Poème N°388 « Le miroir » de Alina-Elena Carstea IXe G, Collège National Lycéal ‘Al. Odobescu', Pitesti Prof. Mariana David (28.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Les fleurs colorent notre vie,
Les nuages font de nous des êtres plus heureux,
Le soleil nous chauffe chaque jour,
La musique fait que nous soyons meilleurs,
La pluie nous éveille à la réalité,
Les animaux nous animent chaque jour,
La lune crée une atmosphère mystérieuse chaque nuit,
Les oiseaux sont les symboles de la liberté,
La neige est le symbole de la pureté,
Les étoiles nous donnent l’espoir,
Tous créent le miracle inimaginable, la vie. » Poème N°385 « La vie, un miracle inimaginable » de Cristina Fogas, IX-ieme - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (28.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie signifie vivre
La vie signifie aimer et rire,
La vie est un cadeau sacré
Un don que nous, les gens, devons respecter.
La vie est un magicien qui a le pouvoir
De créer ou de détruire, d'aimer ou de tuer,
Mais qui, dans son grand amour pour ce qui est vif
A créé le monde.
Dieu nous a donné la vie,
Il nous a donné l'eau, la terre et le ciel
Mais ce qui nous rend humain
C’est de vivre notre vie. »
Poème N°379 « Qu’est-ce que c’est la vie ? » de Bulboacada Ioan Daniel, VIII-ieme - - Professeur coordinateur : Liliana Derevici (28.04.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire
aux lèvres…
MISS MARYL (Butterfly Girl)
Il y a aussi la voie du cœur
Qui te donnera l'espoir en retour.
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie c'est une couleur!
C'est le nez d'un enfant,
Rouge et drôle,
C'est le matin d’un lundi
Quand je ne veux pas aller à l'école
Et quand ma mère sourit.
La vie, c'est un miracle,
Un film ou un spectacle,
Un navire qui flotte sur la mer,
Un papillon doré et éphémère.
La vie, c’est nous : toi et moi
Et le chant d'un oiseau dans le bois! »
Poème N°377 « La vie » de Caienar Diana, VeA, Grup scolar agricol Biled/Timis/Roumanie, prof. Corina Fenichiu (27.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire
aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
La vie est une couleur
Argentée, dorée ou noire
Peu importe si elle est méchante,
Elle est seulement à toi.
Ne te fâche pas contre ta vie
Aime-la comme elle est
Ne te venge pas
Aie grand soin d’elle.
La vie est amour
Aime comme dans un rêve
Pas de panique
C’est juste votre vie. »
Poème N°374 « La vie » de Ioana Berindean, VIII-ieme - Professeur : Liliana Derevici (27 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est un trésor très précieux,
Nous devons prendre soin d'elle.
La vie est comme une fleur,
Fragile et parfumée,
Délicate et colorée.
La vie est belle,
Nous devons la défendre.
La vie est merveilleuse,
Nous devons la vivre comme nous sentons. »
Poème N°373 « La vie » de Andreea Vascan, IX-ieme - Professeur : Liliana Derevici (27 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est une colline
Haute, dangereuse, escarpée
Avec plusieurs sentiers,
Larges, étroits, ensoleillés
Choisis la meilleure variante
Pour avoir une vie contente.
Le temps passe vite,
Il ne revient jamais.
Donc, mon ami, profite!
Cueillis dès aujourd’hui
Toutes les roses de la vie !
Parfois la vie est une chanson
Qu’on chante joyeusement.
Parfois elle est une larme
Sur le visage de Dieu
Ou bien un bon roman
Qu’on écrit avec la main du Destin.
Vis tous les moments,
Bons, tristes, marrants.
La vie est notre chance
Dans le pays de la danse,
Notre paix et notre foyer,
Notre amour pour l`aventure
Et notre souhait avec aplomb :
Longue vie à la colombe ! »
Poème N°363. « La vie » de DRINCEANU IOANA- – Professeur : Adelita ANOCA-Tamasan (26 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire
aux lèvres…
TOUT LE MONDE (Les trois personnages en chœur)
Des prières et des chansons pour les amoureux de la vie,
Les survivants de l’infini, et quelques soient les saisons !
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie… une longue lignée de moments
Moments de bonheur ou de tristesse profonde
Moments qui restent gravés dans sa mémoire
Et qui te fait savoir que tu es simplement un homme.
La vie… une montre qui inévitablement,
À chaque tic-tac, est capable de détruire,
Un espoir, une chance, une minute de bonheur,
L’amitié, l’amour et la confiance en toi.
L’homme… un arbre qui pousse grâce à l’amour
Qui résiste à la pluie grâce au bonheur,
Qui perd sa verdure grâce à la tristesse
Et qui laisse derrière une épaisse couche de feuilles. »
Poème N°362. « La vie » de Toadere Ramona-Alexandra XII-ieme B - – Professeur : Liliana Derevici (25 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« De tous côtés, il y a de la joie.
De dessous le tapis d’herbe,
Ou de la terre noire et sèche
Les fleurs jaillissent vers le soleil
Et entrent dans une joyeuse ronde,
En étalant leurs couleurs vives.
On entend partout des sons :
Ici, un bourdonnement d’abeilles,
Là, un coassement d’une rainette cachée,
Le gazouillement des moineaux
Qui nous accompagne le jour,
Ou la fanfare des grenouilles
Qui enchante nos nuits.
Dans les nues,
Le parfum des fleurs est séduisant.
La voûte du ciel cristallin est voilée
De papillons de toutes les couleurs
Qui semblent avoir quitté
La toile d’un Peintre inconnu
Pour venir à notre rencontre.
Le printemps est arrivé enfin
Et la nature se met à neuf
Pour nous rendre heureux ! »
Poème N°361. « Une nouvelle vie » de Danciu Corina, VIIe C, Collège Ştefan
Velovan,Craiova- Professeur Coordinateur : Maria Miflor (24.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire
aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« C' est le printemps !
J'ai trouvé la vie dans un printemps,
J'ai trouvé le printemps dans une fleur,
J'ai trouvé la fleur sur un champ,
J'ai trouvé le champ dans mon coeur.
Il y a tant de bonheur dans une fleur
Et il y a tant de fleurs au printemps.
Le printemps bourgeonne dans mon coeur
Et je sens son parfum de plus en plus fort.
Tout est charme et beauté.
Le soleil verse ses gouttes de lumière,
Le ciel est orné avec des nuages de laine,
Les arbres sont enneigés avec des fleurs,
Le vent caresse les champs multicolores,
La nature revient à la vie.
Comme c'est beau d'aller en rêvant sur les collines et les champs!
Aimez donc, c'est le printemps! » Poème N°354. « Aimez,… » de Zehan Gabriela, VIII-ème, Ecole NO. 10, Baia Mare, prof. coordonateur Astalas Ramona (12.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Par la rosée du matin tu te lèves en rêvant,
Et la joie de la vie tu l’honores en rire
Avec les fleurs du champ tu remplis ton âme
Et un vers d’alouette envahit ta chanson.
Ecoulement et délice c’est la vie que tu vis
Quand la paix est retrouvée dans des mystérieuses histoires.
Et tous ces cadeaux que t’offrent l’amour
Que tu partages avec toutes tes femmes. »
Poème N°349. « La vie » de Valeria Vesa, XII-ieme C – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
N°331. « LA VIE »
« La vie est un manège
Qui monte et descend beaucoup de fois !
La vie est un rocher
Un pas en avant et on peut tomber !
La vie est un grand bateau à voiles
Perdu au milieu du désert !
La vie est toujours un jeu
De nos jour jusqu’à la mort !
La vie n’est pas toujours facile,
Mais nous ne pouvons pas dire qu’elle n’est pas utile. Manuel Neves, VII ème A, École Dr. João Carlos Celestino Gomes, Ílhavo, Portugal, Professeur Teresa Madaíl (10.04.2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Le mystère de la vie vous ne pouvez le comprendre,
Essayez et vous réaliserez combien peu vous savez
Constamment en fouillant une réponse pour tuer toutes les pensées pénibles.
Ne vous inquiétez pas …
Un de ces jours, la réponse viendra
Mais pour maintenant…
Trouvez-vous dans un lit de roses,
Éteignez la lumière,
Sentez la pluie,
Plongez avec les yeux dans la profondeur du ciel
Leur lumière illumine le ciel nocturne,
Découvrez mille voyages, mille années
Au moment où elle nous atteint, l'étoile est déjà partie
Comme la lumière des grandes personnes
Les esprits curieux ajoutent un morceau au puzzle de vie
Sont loués après qu'ils s'en sont allés.
Il n'y a aucun regard en arrière qui accélère juste en avant
Sur la route nationale de la vie
L'amour est votre essence qui ne s'épuisera jamais.
Les galaxies dans l'Univers sont nombreuses,
Autant que tous les grains de sable des plages de toute la Terre
C'est comme le grand Univers dans lequel nous flottons et
Le monde dans lequel nous vivons semble si petit maintenant
Nous avons une petite maison
Mais nous sommes capables de grandes choses
Aimez votre maison avec tout votre cœur
Et mettez une rose rouge de votre lit dans vos cheveux. »
Poème N°326. « Être heureux pour ce moment » Octavia Andercou, XI-ieme A – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
ROBERTO
Bénis soient les poètes !
Les temps nouveaux nous guettent !
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est une chaussée.
Par où nous devons aller,
Où nous pouvons jouer,
Mais, également pleurer.
La vie est un jardin,
Où les fleurs sont des dames.
Et je suis un jardinier,
Qui leur porte soin à toutes. »
Poème N°325. « La vie » de Georgel Maris, XI-ieme B – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
Quand le soleil réchauffe ma peau,
Quand le vent caresse mon visage,
Quand l'eau apaise ma soif,
Quand les oiseaux chantent pour moi,
Je me sens vivant.
Quand vous goûtez le vin de l'automne,
Quand j'entends les loups hurlant,
Quand je sens l'odeur des fleurs du printemps,
Quand je vois des enfants dans la rue,
Je me sens vivant.
Poème N°324. « Quand... » de Patricius Popa, XI-ieme B – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
Je me réveille le matin
Joyeuse, regardant par la fenêtre
Je suis heureuse pour ma vie sereine
Et avec amour je vole vers un nouveau jour.
Poème N°317. « Ma vie » de Andreea Gherman, VII-ieme– Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Quand il fait froid dehors, montre au monde la chaleur de ton sourire
Ne t’inquiète pas, les bonnes choses se produisent quand tu t’attends le moins
Il n’y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin
Les amis sont ceux qui, lorsqu’ ils te prennent par le main, ils touchent ton cœur
La vie est amitié, amour, beauté, sourire
Profite de toutes les petites choses qui te rendent la vie belle
Et souviens-toi ! Il y a des miracles ! »
Poème N°314. « Conseils pour une vie heureuse » de Ana Avram, IX-ieme A– Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« C’est un homme perdu dans le monde
Il pense ... rien à faire dans cette vie ?
Brillant par le feu d'artifice, il demande
Peut-être un simple sourire d'un ami ?
Il marche dans la rue et chante pour une fleur,
Vois, les pétales colorés, ouverts !
Et il libère les baisers dans le parfum enivrant
Qui impose un état de joie aux enfants.
L’amitié découvre les couleurs vibrantes.
Il s'arrête. En face est un petit grillon,
Ses lèvres s'ouvrent lentement
"Que fais tu, mon ami, en ce moment ?"
Timide, il a chanté des ballades merveilleuses.
L’amitié découvre la musique dans un homme.
Le soleil est la vie, il offre à la nature
Un reflet de l'amour pour la Côte d'Azur.
Et avec ses bras, longs et chauffés,
Il épouse les gens et leur donne un trophée
Le sentiment de l’amitié. »
Poème N°312. « Puissance et sentiments » de Roxana Ilea, IX A– Professeur : Liliana
Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est belle
Elle est comme un champ de fleurs
Un jour ensoleillé d'été
Parfois facile, d’autre fois plus difficile
Et assombrie par des pensées froides
Qui vous passent par votre esprit frissonnant
La vie est comme une course
Avec des obstacles à chaque étape
Qui vous apparaissent soudain de n'importe où sur votre chemin
Elle est pleine de troubles ou d’erreurs !
La vie est belle !
Et comme la vie c'est l'amour,
Parsemée par des erreurs
Vie et Amour sont complémentaires
L’une sans l'autre ne peut pas exister,
En entrant dans la même identité ! »
Poème N°307. « La vie est belle ! » de Bianca Ratiu, IX-ieme – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
MARTISOARA
La chance est de retour !
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
TOUT LE MONDE
Bénis soient les poètes !
La vie de chacun ne s’achète,
Elle est un trésor en chacun de nous !
MARTISOARA
L’amour est de retour !
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La vie est amour.
La vie est une fleur.
Quand elle dit « bonjour »,
La vie est en couleur.
La vie est belle.
La vie est une chanson.
Quand je pense à elle,
La vie est ma raison,
Pour laquelle je vis. »
Poème N°304. « La vie » de Barbos Vlad, X-ieme A – Professeur : Liliana Derevici (10 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
MISS MARYL (Butterfly Girl)
La chance est de retour !
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« Dès qu’on est né
On comprend que la vie est
Un héritage très important
Les parents nous forment,
Les amis nous aident
Les difficultés nous rendent ambitieux
Ou nous chagrinent
Parfois même souvent,
On entend la question
Pourquoi est-ce qu’on vit ?
Pourquoi on est né ?
Peut-être que la réponse est tout simple :
On vit pour expérimenter la vie. » Poème N°300. « La vie » de Sebastian Bondor, VII-ieme – Professeur : Liliana Derevici (7 avril 2010)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire aux lèvres…
ROBERTO
La Joie est de retour ! Youpi !!!
Roberto chante et danse avec Miss Maryl et Martisoara sur le pont de la Salamandre
UN ENFANT PAPILLON, se détache de la voile, se pose sur le boulevard Aragon et récite son poème tout en se déplaçant sur des patins à roulettes sur le boulevard Aragon
« La colombe aime voler,
Le ruisseau aime balader,
Le soleil aime caresser
Et la mer aime chuchoter.
Les insectes aiment bourdonner,
Le poisson aime nager,
Le mentor aime diriger
Et les amoureux aiment embrasser!
La vie aime trouver une variante
Pour chaque larme
Et pour chaque situation agaçante!
La vie aime voler, balader, caresser,
Chuchoter, bourdonner et zapper! »
Poème N°284. « Zapper » Draia Daniela, VIIe A - Grup scolar agricol Biled/Roumanie – Professeur : Corina Fenichiu (25.03.10)
L’enfant papillon plonge ensuite dans le panier de la colombe qui plane à coté de lui le sourire
aux lèvres…
La Salamandre reprend sa course sur le Seine le long du Boulevard Aragon toutes voiles gonflés au vent… La jolie colombe tourne autour de la tour Eiffel puis s’envole laissant derrière des tâches de fumée rose qui forme un gros cœur dans le ciel…
FIN DE L’EPILOGUE
FIN DU 38-ième épisode